Un petit rappel pour les voyous mahométans incultes qui détruisent nos villes et agressent violemment des Français uniquement à cause de leur appartenance à une religion :
Les Etats arabes, l’ONU et ses organes, et dernièrement la Cour internationale de justice ont maintes fois prétendu que les Palestiniens seraient un peuple indigène — à tel point que presque tout le monde tient cela pour acquis. Le problème est que le peuple palestinien est un apatride de fabrication. Le mot Palestine, choisi par Hadrien pour désigner la Judée et la Galilée en 132 de notre ère, afin d’en éradiquer toute trace de judéité, n’est même pas d’origine arabe.
La Palestine n’a jamais été un Etat indépendant appartenant à un peuple, ni un peuple palestinien distinct des autres Arabes durant les 1.300 ans d’hégémonie mahométane en Palestine, sous domination arabe et ottomane. Durant la majeure partie de cette période, les Arabes y habitant ont été placés sous l’autorité de la Grande Syrie.
Historiquement, avant que les Arabes inventent de toutes pièces, pour des raisons circonstancielles, la notion de « peuple palestinien » comme un prétendu peuple exclusivement arabe, il n’existait aucun groupe de ce genre. La preuve en est rapportée dans d’innombrables et officiels documents très anciens du mandat britannique qui parlent des Juifs et des Arabes de Palestine – et non des Juifs et des Palestiniens.
En fait, avant que les Juifs locaux se soient appelés eux-mêmes les Israéliens en 1948 (lorsque le nom « Israël » a été choisi pour nommer l’Etat juif nouvellement créé), le terme « Palestine » était appliqué presque exclusivement aux Juifs et aux institutions créées par les nouveaux immigrants juifs dans la première moitié du 20ème siècle, avant l’indépendance de l’Etat.
En voici à titre d’illustration quelques exemples :
- Le Jerusalem Post, fondé en 1932, s’appelait le Palestine Post jusqu’en 1948.
- La banque Leumi L’Israël, créée en 1902, a été appelée Anglo-Palestine Company jusqu’en 1948.
- L’Agence juive – une branche du mouvement sioniste engagé dans l’implantation juive depuis 1929 – s’est d’abord nommée l’Agence juive pour la Palestine.
- L’actuel Orchestre Philharmonique d’Israël, fondé en 1936 par des réfugiés juifs allemands fuyant l’Allemagne nazie, se nommait le « Palestine Symphony Orchestra » et était composé de quelques soixante-dix juifs de Palestine.
- L’United Jewish Appeal (UJA) a été créé en 1939 par une fusion de l’Appel pour la Palestine unie et la branche de collecte de fonds du Joint Distribution Committee.
Il n’y a de surcroît jamais eu d’Etat souverain arabe en Palestine.
L’artificialité d’une identité palestinienne est reflétée dans les attitudes et les actions des pays voisins arabes, qui n’ont jamais mis en place un Etat palestinien et n’en ont jamais préconisé un avant la guerre des Six Jours en 1967.
Deux fois seulement dans l’histoire, Jérusalem a été capitale nationale : elle fut d’abord la capitale des deux républiques juives durant les époques du premier et du deuxième Temple, comme abondamment décrit dans les Saintes Écritures, constat renforcé par des preuves archéologiques ainsi que par de nombreux documents anciens; elle l’est ensuite redevenue à l’époque contemporaine, en qualité de capitale de l’Etat d’Israël. Elle n’a jamais été une capitale arabe pour la simple raison qu’il n’a jamais existé un Etat palestinien arabe.
Les Arabes n’ont jamais établi un Etat palestinien quand l’ONU a recommandé en 1947 de partager la Palestine et de créer « un Etat arabe et un Etat juif » (et non un Etat palestinien comme il devrait alors être noté). Pas plus que les Arabes n’ont reconnu ou établi un Etat palestinien au cours des deux décennies précédant la guerre des Six Jours alors que la Judée Samarie était sous contrôle jordanien et la bande de Gaza sous contrôle égyptien. Nous n’avons pas non plus entendu de réclamation d’autonomie ou d’indépendance lancée par les Arabes palestiniens durant ces années passées sous la domination égyptienne et jordanienne.
Voilà pour les faits. La « Palestine » n’a jamais existé et il n’y a aucune raison qu’elle existe jamais.