Bergoglio, le pape qui n’aime pas les prêtres


Le Pape Bergoglio, gros mangeur, entre au restaurant avec sa cohorte d’arrivistes cléricaux, à demi apostats afin de mieux grimper sans le fardeau de la foi sur les épaules. Il avance tumultueux et impérieux. Soudain il ralentit et jette son regard sur un pauvre petit prêtre en soutane, qui prend son repas assis à une table. Il le passe au scanner de ce regard froid que ceux qui lui sont proches mais pas intimes connaissent, lorsque les caméras s’éteignent, et puis d’un coup, poursuivant sa marche, et se tournant vers un des prétoriens il ordonne: « Ce prêtre-là ne me plaît pas! Que je ne le voie plus ici ». […] Ce qui est curieux, ou triste plutôt, c’est que — en ce lieu où même le pape se balade en civil, à ce qu’on dit — ce pauvre petit prêtre en soutane qui mangeait son plat de pâtes, il ne savait même pas qui c’était.

—Antonio Mastino, article traduit par le site Benoit et moi

C’est du lourd, mais c’est hélas du vécu. Concernant ce pape qui « n’aime rien de rien sauf les extravagantes, superficielles idées libéral-pentecôtistes qu’il a dans la tête et qui ont déjà prouvé être en faillite », il est temps, grand temps, de casser le mythe. Avec le respect auquel nous somme tenus tant qu’il restera sur le trône de Pierre. Parce qu’il s’agit de l’Eglise et de l’honneur de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Un article cruel mais juste, à lire absolument. Et jusqu’au bout.